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Participation Citoyenne

PARTICIPATION CITOYENNE

Alfers 2024

Alfers 2024

Retour en images sur la cérémonie des Alfers 2024 du jeudi 11 avril à l’Aérodrome de Namur – EBNM.

Prix économiques de la Province de Namur, en collaboration avec le BEP – Bureau économique de la Province de Namur, les Alfers mettent à l’honneur des entrepreneurs du territoire qui se sont particulièrement démarquées durant l’année écoulée.

Toutes mes félicitations aux 5 lauréats de cette édition 2024 :

Bionat – Bister

Biscuiterie Stephen Destrée

Fagnes Beers

Candle Carat

– Mystale Games

Débat : « Habiter en Wallonie : une impasse ? »

Débat : « Habiter en Wallonie : une impasse ? »

Rendre les loyers financièrement accessibles, améliorer la qualité du bâti, initier une politique de logement plus juste et lutter contre le sans-abrisme.

Ce sont quelques-uns des objectifs de DéFI que j’ai pu présenter lors du débat du 2 avril au Delta : « Habiter en Wallonie : une impasse ? ».

J’ai aussi pu indiquer à mes collègues des autres partis que quand on veut vraiment faire de la lutte contre le sans-abrisme une priorité durable, cela passe par des moyens budgétaires en conséquence et structurels !

Envie d’en savoir plus sur ce que DéFI veut faire pour vous ? Consultez le programme complet 👇

5 priorités pour lutter contre la pauvreté en Wallonie – DéFI (defi.be)

Conférence-débat de l’UNIPSO

Conférence-débat de l’UNIPSO

Le secteur social reçoit-il trop de subsides ?

C’est une des questions posées ce mardi 26 mars lors de la conférence-débat de l’UNIPSO ; « discussions et revendications du secteur à profit social, intersectorialité, quel avenir pour l’économie sociale ? »

Chez DéFI, nous voulons une société plus juste, plus responsable, équilibrée et solidaire. Une société qui encourage, respecte et soutient celles et ceux qui entreprennent, qui veulent travailler en s’appuyant sur une fiscalité équitable et des dépenses publiques maîtrisées et efficaces. Une société qui concilie le dynamisme de l’initiative et la juste redistribution des richesses. Cela implique une participation équilibrée de tous les acteurs économiques au financement collectif de la société, c’est se donner les moyens de faire naître de la croissance économique tout en garantissant un modèle d’économie de marché qui puisse assurer un solide bouclier de protection sociale.

Pour plus d’informations sur le sujet et connaître nos valeurs : https://www.defi.be/faqs/

35ème cérémonie des Namurois de l’année

35ème cérémonie des Namurois de l’année

Ce 13 mars, se déroulait la 35ème cérémonie des Namurois de l’année. L’occasion de mettre à l’honneur les namurois pro-actifs. Encore toutes mes félicitations à eux 👏

ℹ La cérémonie des Namurois de l’année récompense chaque année des citoyens, qui chacun à leur façon, ont contribué au rayonnement de la province de Namur.

Visite du centre PEREX

Visite du centre PEREX

PEREX

Le centre Perex (PERmanence d’EXploitation) est situé au cœur du réseau autoroutier à DAUSSOULX (PROVINCE de NAMUR). Il surveille et gère le trafic du réseau (auto)routier wallon en collaboration avec les autres acteurs présents dans la salle de permanence qui fonctionne 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7; sont présents également la police et le service RTBF Mobilinfo.

Le centre récolte, traite et diffuse des informations routières à l’attention des usagers. L’objectif est d’assurer leur mobilité et leur sécurité. PEREX est également garant du trafic des voies hydrauliques.

C’est par exemple de ce centre que sont activés les fameux PMV (panneaux à messages variables) placés au-dessus et le long des autoroutes pour avertir les usagers en cas de problèmes (accidents, aquaplanning, neige, verglas, objets sur la route, conducteurs fantômes,…).Ces informations proviennent de centaines d’équipements placés le long du réseau : caméras de surveillance du trafic, boucles de comptage, etc.

L’usager et son véhicule, sources d’informations

L’usager et/ou son véhicule deviennent une source autonome d’information via le GPS, le smartphone, le coyote, bref, l’ensemble des équipements mobiles et connectés. Toutes ces informations sont connues et exploitées par les opérateurs de téléphonie mobile. Ces informations rendent un service personnalisé aux usagers de la route.

Des partenariats existent avec d’autres centres de trafic voisins : districts autoroutiers et routiers, qui sont situés en Flandre, au Luxembourg, aux Pays-Bas et BXl Mobiris.

Ensemble, ce sont 10 directions, 42 districts : 10 autoroutiers et 32 routiers. Cela regroupe la gestion de l’impact du trafic sur les portions de chantiers, la planification de ceux-ci, la prise en compte du trafic, la gestion des incidents, objets sur chaussées, pannes, accidents et enfin une collaboration étroite avec les services de secours. Le centre prend en charge aussi de la gestion du système Siabis (Système Informatique Assisteurs – Bijstandverleener Informatie System)qui organise le transfert des informations nécessaires aux interventions de dépannage et la désignation du dépanneur (agréé opérant à un tarif défini) qui pourra intervenir le plus rapidement en fonction de la localisation de l’incident.

Adaptation de la vitesse = fluidité du trafic

À ce jour, il est essentiel de signaler que le meilleur dispositif qui a joué un rôle important dans la gestion de la fluidification des routes est la mise en place des radars tronçons. À ce propos et pour l’exemple, afin d’arrêter de croire à des « légendes urbaines », il a été prouvé que pour réguler l’encombrement de trafic lors de formations de bouchons, il est plus efficace de fluidifier la circulation lorsque les véhicules roulent à une vitesse maximale de 40 km/h. Cette méthode à pour incidence de faire passer plus d’unités roulantes à l’approche du goulot. Cela s’explique simplement par la fait qu’il existe un écart réduit entre chaque automobile.

I.A. (intelligence artificielle) et technologies de pointes

Pour le futur (PEREX 4.0 ? PEREX I.A. ? … ), le challenge sera de définir qui fait quoi en matière d’autonomie et des gestion de l’info par rapport à des voitures qui vont de plus en plus être intelligentes et en conduite assistée.

Quoi qu’il en soit il existe déjà des directives européennes qui impliquent les différents  centres d’avoir recours à des ITS (INTELLIGENT TRANSPORT SYSTEMS). Ce système permettra de communiquer en temps réel avec chaque véhicule qui emprunte les réseaux routiers connectés. Cela sera mis en place via les NAP (National Access Point) 

Il est important de signaler qu’en amont, un gros travail de légitimité a été effectué par les équipes sollicitées en consensus d’interopérabilité afin d’obtenir les autorisations de communiquer avec les véhicules. Il a fallu donc mettre en place des synergies avec d’autres pays au niveau européen, mais aussi les constructeurs automobiles. Pour le volet réglementaire, différentes entités sont concernées aussi au Benelux.

Avis convergents

Chez DéFi, nous nous soucions de l’évolution des mentalités et des technologies qui vont permettre une fluidification raisonnée du trafic sur nos grands axes mais également les axes secondaires. Nous avons la même vision commune. Nous souhaitons que les investissements stratégiques en zone métropolitaine soient assurés par l’adoption d’un accord interrégional et fédéral. Il convient de créer un fonds spécial «mobilité́».

Enfin, il est temps que les véhicules routiers étrangers contribuent au coût d’entretien de nos infrastructures routières. Les poids lourds de plus de 3,5T participent déjà via le viapass. DéFI souhaite l’instauration d’une vignette routière pour les autres véhicules étrangers qui empruntent notre réseau, vignette perçue à toutes les frontières et dont le produit financier est à répartir équitablement entre les trois régions.

Vous souhaitez en savoir plus sur nos réflexions et notre position, suiviez le lien ci-dessous.

https://www.defi.be/nos-idees/developper-une-mobilite-durable-au-financement-intelligent/

Le saviez-vous ?

Le saviez-vous ?

🏫 Saviez-vous que certaines écoles et bâtiments institutionnels sont parmi les bâtiments les plus énergivores ? C’est précisément ce que je souligne dans cette vidéo. Reprendre le contrôle de notre énergie passe par l’investissement dans l’isolation et la rénovation énergétique de ces bâtiments.

💡 Ce qui ressort ? Dans la province de Namur, nous avons relevé le défi de rénover 3 gros bâtiments scolaires. De l’abattement à la reconstruction, pas un détail n’a été négligé pour en faire des bâtis quasi zéro énergie.

🌿 L’objectif ? Avoir un impact carbone neutre d’ici 2030 pour l’institution provinciale de la Province de Namur. Un ambitieux plan zéro émission !

Découvrez notre vision et notre engagement dans cette vidéo. C’est inspirant et cela montre que du changement est possible, même à notre échelle !

Qu’en pensez-vous ? Est-ce un défi réussi selon vous ? 🤔

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Séance du conseil provincial du 23 février 2024

Séance du conseil provincial du 23 février 2024

Nouvelle réunion du conseil provincial ce matin. Focus sur quelques-unes des décisions du jour.

L’art de la vigne enseignée à l’école provinciale d’Agronomie et des Sciences de Ciney

L’Epasc – école provinciale d’Agronomie et des Sciences de Ciney (Epasc) va intégrer la viticulture à la formation qu’elle dispense à ses élèves. Ce nouveau module s’explique par la volonté de l’école provinciale de proposer une formation en phase avec l’évolution du secteur professionnel –la production viticole s’étant bien développée en Wallonie au cours de ces dernières années – et avec la multiplication des initiatives prises en matière de diversification au sein des exploitations agricoles.

À terme, l’Epasc ambitionne d’implanter un vignoble au sein de son exploitation didactique. Et d’ici là, le conseil provincial a marqué son accord, ce matin, sur la convention de collaboration avec un vignoble pédagogique à vocation non commerciale situé à Sorinne-la-Longue. Un endroit qui est facile d’accès et proche de l’école.

La Dame au Pantin II toujours visible au musée Rops grâce à sa mise dépôt par la Fondation Roi Baudouin

Visible au musée provincial Félicien Rops depuis 2004, La Dame au Pantin II continuera à y être exposée. En tout cas pour les trois ans à venir, une période qui fera l’objet d’une reconduction tacite. C’est ce que prévoit la convention qui lie la Province de Namur à la Fondation Roi Baudouin, nouvelle propriétaire de l’œuvre. Une convention approuvée ce jour par le conseil provincial.

Premier tableau des modifications budgétaires de l’exercice 2024

L’heure des premières modifications budgétaires a sonné. Elles ont été rendues nécessaires par les investissements relatifs aux différents beaux projets inscrits dans le cadre du plan pour la relance et la résilience européen (PRR) et notamment pour plusieurs de nos maisons provinciales du mieux-être. La rénovation de ces bâtiments permettra d’améliorer leurs performances énergétiques et par conséquent le confort d’utilisation de nos usagers et de nos travailleurs.

Marché approuvé : de nouveaux locaux de cours au campus hôtelier en mars 2026

Les conditions et le mode de passation du marché relatifs à la deuxième phase des travaux du « PRR Citadelle » ont été approuvés. On rappelle que le projet consiste en la reconstruction de nouveaux locaux de cours au niveau du campus hôtelier de la Province de Namur, après démontage d’un ancien hall sportif.

Le marché dont question porte uniquement sur le volet construction. Le futur bâtiment sera à peu de choses près implanté au même endroit que le hall actuel.

Il se développera sur trois niveaux : un rez-de-chaussée accueillant les bureaux de secrétariat et de direction, la cuisine professionnelle avec sa salle de restaurant attenante, des vestiaires, locaux techniques, une infirmerie et une classe ; un premier étage avec cinq classes (dont deux communicantes), une salle de travail, une bibliothèque et une salle informatique et un deuxième étage regroupant deux auditoires, une grande classe, une grande et petite salle de réunion, une kitchenette et salle des professeurs.

On soulignera au passage que, dans le cadre de ces travaux, les principes de l’économie circulaire – et donc la notion de valeurs des matériaux existants sur le site – ont été pris en compte. De même, la réutilisation et l’orientation des déchets résultant de cette démolition ont été pré-étudiées.

Les travaux devraient débuter le plus rapidement possible après le 15 août pour une réception provisoire programmée mi-mars 2026.

Nouveau bâtiment de l’Epasc : le marché va être lancé

Le conseil provincial a marqué son accord quant à la procédure et aux conditions du marché relatives aux travaux qui prendront place à l’Epasc – école provinciale d’Agronomie et des Sciences de Ciney. Ils font l’objet d’une subsidiation dans le cadre du plan pour la reprise et la résilience européen (PRR). Pour mémoire, ces travaux consistent en la démolition partielle de l’un des blocs du site – appelé complexe D – qui abrite l’accueil et l’administration de l’établissement scolaire et la construction d’un nouveau bâtiment.

Côté calendrier, le début des travaux est prévu en août 2024. Ils devront être impérativement terminés pour mi-mars 2026.

Questions et réponses lors du congrès de la FUGEA du jeudi 8 février 

Questions et réponses lors du congrès de la FUGEA du jeudi 8 février 

Voici certaines questions abordées et les réponses du Député Alexandre :

* Quelles sont vos propositions structurelles pour que la construction des prix soit basée sur nos coûts de production et assure une juste répartition des marges ?

« – Nous réclamons un régime particulier et automatique d’équilibrage des prix pour garantir une rémunération juste pour l’agriculteur. Ensuite, nous demandons une égalité de traitement au niveau des contraintes de qualité. Il est primordial que les produits qui viennent de l’autre bout du monde, et qui rentrent en concurrence avec les nôtres, soient soumis aux mêmes normes de production que l’on nous impose.

Il est aussi pertinent d’axer la réflexion sur le développement de pôles logistiques locaux et le développement de hub logistiques coopératifs tels que la ceinture alimentaire liégeoise ou de Charleroi-Métropole, ou encore des initiatives telles que Paysans-Artisans. Il y a lieu aussi de sensibiliser davantage les consommateurs via des “Maison de l’Alimentation durable” comme en province de Liège, de Hainaut et bientôt de Namur.

Il n’est pas concevable que les produits issus de l’agriculture soient vendus en dessous du coût de revient.

– La révision de l’Organisation Commune des Marchés pour mettre en place une politique de régulation des marchés, qui offrira un prix rémunérateur aux producteurs selon trois principes :

  1. La préférence communautaire : ne pas importer ce qui est produit en suffisance chez nous.
  2. L’autosuffisance alimentaire : il ne faut pas perdre de vue le rôle premier de l’agriculture : nous nourrir. De manière raisonnée et en tendant vers moins d’impact carbone, et ce, de manière soutenable.
  3. L’économie circulaire : plutôt que d’importer du soja massivement de l’autre bout du monde, développons les fermes intégrées qui produisent des fertilisants naturels. »

* Quelles sont vos propositions concrètes pour faciliter l’accès à la terre, en particulier pour les jeunes ?

« – En matière de foncier, la première des choses est d’imposer le bail à ferme comme la norme sur le marché locatif.

– Etablir un mécanisme de gestion centralisée des terres publiques – Et cela peut se faire en partenariat avec les provinces, j’y travaille notamment en province de Namur. A ce propos, j’ai demandé à mon équipe un cadastre des terres agricoles disponibles en province de Namur. Le but est de mettre à disposition des terres inexploitées afin de permettre l’évolution des exploitations agricoles des jeunes agriculteurs.

– Contrôler les ventes de parcelles dépassant une certaine superficie en tenant compte du nombre d’unités de travail agricole sur l’exploitation.

– La pression foncière nécessite aussi de traiter le marché des parcelles agricoles comme un marché compétitif mais régulé, notamment en taxant les plus-values sur les parcelles détenues moins de 18 ans et/ou qui ne sont pas vendues à un agriculteur actif, les deux critères étant cumulatifs.

– Incitants fiscaux pour les transmissions, successions et donations de terres agricoles, si celles-ci reviennent à des agriculteurs sous le régime du bail à ferme.

– Un incitant aussi par des prêts. »

* Quelles sont vos propositions pour nous simplifier la vie ?

« Je ne crois pas que la structuration du gouvernement soit une garantie de simplification administrative ou de cohérence.

L’AFSCA ne doit plus pouvoir sanctionner immédiatement, mais seulement après avertissement et ne doit contrôler la mise en ordre qu’après accompagnement par les offices provinciaux. Idem pour les contrôles régionaux.

En outre, il faut mettre en place une banque publique d’investissement agricole, favoriser le remploi des équipements agricoles pour maximiser leurs taux d’utilisation, soutenir la recherche dans la robotique, le numérique et les biotechnologies et parallèlement soutenir les investissements dans ces domaines par un suramortissement des investissements.

Concernant le volet administratif, il faut simplifier les structures wallonnes de manière générale, la surcharge administrative est trop lourde. Plus largement comme pour tous les indépendants et entreprises, adopter des mesures de plus long terme et donner une plus grande prévisibilité des changements à venir suffisamment à l’avance pour pouvoir les anticiper. C’est encore plus criant pour les agriculteurs-éleveurs dont l’activité principale est d’être sur le terrain et non pas derrière son ordinateur à remplir des fiches administratives interminables. La technologie doit faciliter la récolte de données sans qu’il y ait besoin d’intervention humaine, ce qui constituerait un vrai progrès pour les agriculteurs. Prenons l’exemple de l’efficacité des drones afin de repérer les zones de culture en souffrance et d’intervenir avec une précision chirurgicale.

Enfin, ce congrès était l’occasion d’échanger avec les éleveurs et les agriculteurs qui, je n’en doute pas, sont en complète adéquation avec la vision DéFi que j’impulse. »